
Plan de site, sitemap ?
Un sitemap, ou également plan de site, qu’est-ce que c’est et à quoi ça sert ?
Un sitemap est de part sa traduction un plan de site, en général un fichier au format XML
Il se matérialise par un fichier contenant une liste des URLs internes du site web pour lequel il est généré.
Il permet aux moteurs de recherche d’indexer votre site avec des informations sur les URLs de celui-ci.
Sans lui, certaines URLs ne seraient pas découvertes par les robots.
Si par exemple une URL de votre votre site n’est liée par aucune autre URL, il sera alors impossible pour un robot de l’indexer sans le sitemap. Les robots d’indexation (Googlebot par exemple) ont donc besoin d’un sitemap pour découvrir toutes les URL de votre site web.
Les robots d’exploration des moteurs de recherche comme Googlebot lisent ce fichier pour explorer plus intelligemment votre site. source : Google
Le sitemap fourni également aux moteurs de recherche des métadonnées relatives aux pages listées. Ces métadonnées renseignent les moteurs de recherche avec des informations telles que la date de la dernière modification d’une page web, sa fréquence de mise à jour ou encore son importance dans le site internet. Les moteurs de recherche utilisent les informations contenues dans le sitemap pour optimiser le référencement de votre site internet.
Le protocole SITEMAP
Les robots d’exploration des moteurs de recherche Google, Yahoo! et Microsoft respectent le même protocole Sitemap. Un document décrivant le schéma XML est d’ailleurs disponible sur le site sitemaps.org.
Le plan Sitemap doit :
- Commencer par une balise d’ouverture <urlset> et se terminer par une balise de fermeture </urlset>.
- Spécifier l’espace de nom (standard de protocole) dans la balise <urlset>.
- Inclure pour chaque URL une entrée <url> en tant que balise XML parent.
- Inclure une entrée enfant <loc> pour chaque balise parent <url>.
Toutes les autres balises sont facultatives. La prise en charge de ces balises facultatives peut varier d’un moteur de recherche à un autre. Un sitemap ne peut pas lister plus de 50 000 URL et la taille d’un fichier XML ne doit pas dépasser 10 Mo (10 485 760 octets).
Source : sitemaps.org
Les différents types d’entrées d’un sitemap
Un sitemap peut contenir des URLs :
- « classiques » (HTML, PDFs…),
- d’images,
- de vidéos.
Pourquoi le sitemap est-il important ?
Pour mieux comprendre l’importance d’un sitemap, un rapide décryptage du fonctionnement des robots d’indexation (appelés également Crawlers, Web spiders ou encore Bots) est nécessaire.
Pour découvrir et indexer les différentes pages de votre site web, Googlebot (et les autres robots) procèdent de la manière suivante :
- Googlebot découvre votre site via un lien et commence par analyser le fichier Robots.txt. (si le fichier robots.txt existe, le chemin vers le sitemap doit y être préciser, exemple : Sitemap: https://www.vincent-dasilva.fr/sitemap.xml),
- Le robot analyse ensuite le code source HTML de votre page web, l’enregistre et l’envoie à Google,
- Googlebot explore et repère ensuite tous les liens balisés <a> … </a> (internes et externes) tel qu’un utilisateur pourrait le faire en cliquant sur les liens lors de sa navigation.
Cette procédure est répétée à plusieurs reprises jusqu’à l’exploration complète de votre site internet. Une fois tous les liens explorés, il ne restera plus qu’à Google d’indexer vos pages web. Les robots revisiteront votre site à une fréquence dépendante des mises à jour de celui-ci. Plus les mises à jour de votre site seront fréquentes, plus il sera visité par les robots.
Conseil : dans le cas d’une création de site internet, n’hésitez pas à transmettre votre sitemap à Google via Google Search Console.
Pour conclure, l’importance de la présence d’un sitemap est lié au constat suivant : si une URL de votre site internet est inaccessible par la racine ou via ses URL descendantes, les robots ne pourront pas la trouver et l’indexer.

Un site responsive, c’est quoi ?
Tout d’abord, la définition !
Le responsive design est une nouvelle façon de concevoir les sites Web afin que ce dernier soit optimisé sur tous les supports ou il sera consulté (ordinateur, smartphone, tablette…)
Ensuite, l’importance,
Avec la mode des tablettes et des smartphones, les habitudes des internautes changent.
Qui n’a jamais pris son téléphone pour vite aller chercher une information sur un site ?
Et si le contenu est illisible, cela devient vite agaçant lorsque le site ne s’adapte pas correctement au format de l’écran et qu’il faut ¨scroller¨ de haut en bas ou de gauche à droite pour arriver à lire son contenu.
Les sites doivent donc s’adapter à ces nouveaux supports dont les résolutions d’affichage, rendent parfois l’expérience utilisateur difficile.
Le design du site Internet va donc s’adapter automatiquement à l’écran de l’utilisateur en fonction des interfaces de consultation utilisées par le visiteur.
Pour faire simple, comment cela fonctionne ?
Le responsive design permet de s’adapter à l’environnement technique de consultation sans pour autant multiplier les versions du même contenu.
Il repose généralement sur les feuilles de styles et les dernières techniques et standard de programmation web (HTML5, CSS 3, JS,…).
Google attache une importance particulière à ce critère pour le référencement, en effet si votre site n’est pas optimisé mobile, vous risquez fortement d’être pénalisé, de même si vous avez des URLS différentes pour les versions mobile et bureau.
Un outil est disponible afin de valider l’optimisation de votre site : https://search.google.com/test/mobile-friendly

A la découverte du Netlinking
Le Netlinking se définit comme un ensemble d’actions effectués dans le but d’améliorer la réputation de votre site sur les moteurs de recherche
C’est une stratégie qui consiste à développer le nombre de backlinks, les liens externes, pointant vers un site.
L’objectif du Netlinking externe est d’améliorer la popularité d’une page, d’un site, en augmenter son trafic ainsi qu’améliorer son référencement naturel.
Le Netlinking peut se résumer au travers de cette image :
1 – Effectuer une analyse Netlinking afin de définir sa stratégie
Chaque stratégie de Netlinking doit avant tout passer par un audit afin de faire un état des lieux actuel du site.
Vous trouverez sur internet des outils SEO qui vous permettront d’effectuer une analyse comparative entre votre site et vos concurrents par exemple dans le but d’analyser leurs mots-clés ainsi que leurs backlinks. (cf notre article)
Pour réaliser du Netlinking, il faut envisager toutes les opportunités.
Cependant, il est recommandé que la thématique des sites que l’on contacte soit en accord avec la sienne sous peine de conséquences négatives pour votre référencement.
2 – Comment mettre en place le Netlinking ?
Afin de mettre en place le Netlinking et donc d’obtenir des liens entrants sur son site, il existe de nombreuses solutions avec chacune leur degré de pertinence, en voici deux :
- Le linkbaiting fait partie des solutions recommandées en SEO : Cette technique est dite naturelle, car c’est une stratégie qui consiste à capter des liens naturellement. Il a pour méthode la création d’un contenu de qualité, d’en faire sa promotion, afin d’obtenir des liens externes naturels.
- L’achat de liens consiste comme son nom l’indique, à acheter des liens en direct ou via des plateformes. C’est une technique non recommandée
3 – Les bonnes pratiques pour un Netlinking de qualité
La stratégie de Netlinking d’un site web ne se fait pas en quelques mois, c’est un travail de longue durée en qualifiant autant que possible les liens entrants.
Dans les bonnes pratiques de netlinking, il est conseillé de varier ses sources le plus possible afin d’avoir des sites dans des domaines référents et proches.
Pour que Google apprécie la popularité d’un site, ce dernier doit varier les types de liens, les ancres, les emplacements et la destination des liens sur les pages de son site.
Choisir un backlink, c’est choisir la popularité de son domaine référent, il est donc important d’analyser chaque support avant de créer un partenariat de netlinking.
Attention cependant :
Les techniques de netlinking ont évolué depuis des années, toutes les techniques ne sont plus bonnes à prendre.
Elles peuvent même devenir dangereuses : À l’époque toutes les techniques pour avoir des backlinks étaient bonnes à prendre, l’algorithme Google n’étant pas aussi développé qu’aujourd’hui.
Cependant, depuis quelques mises à jour de son algorithme (notamment Penguin), le Géant de Mountain View a fait changer les techniques d’acquisitions de liens.
Les forums en sont le parfait exemple. À l’époque les forums étaient des lieux fortement fréquentés mais de nos jours, la mise à jour Penguin a rectifié le tir et pénalisé bien des sites utilisant massivement cette pratique.
Comme les forums, les annuaires ont été la cible de la mise à jour Pingouin. Les annuaires web étaient autrefois, des parfaits lieux à visiter pour trouver des sites dans n’importe quelle thématique. Maintenant, ces sites ne sont majoritairement plus classés comme de bons supports pour accueillir des backlinks.
Source : Search Factory

Google rencontre un bug gênant sur l’indexation de ses résultats de recherche
Google avait déjà rencontré durant l’année 2019 un bug entrainant plusieurs problèmes de synchronisation des résultats de recherche, d’apparition de résultats obsolètes et perturbant l’accès à la Google Search Console
Un an après, le 2 Juin 2020, ces soucis semblent de retour.
De nombreux observateurs se sont aperçu de problèmes d’indexation sur les contenus « frais » par le moteur, comme les sites de grands médias américains, tels que le New York Times ou le Wall Street Journal, que des petits éditeurs et des blogs personnels.
En effet un Tweet du compte Google Webmasters faisait état hier de cet incident
Google a rapidement travaillé sur un correctif afin de résoudre le problème
Le matin du 3 Juin 2020, les résultats semblaient être de nouveaux disponibles, preuve que Google travaillait activement sur un correctif pour résoudre ce nouveau bug d’indexation.
Ils ont confirmé la résolution du souci via Twitter également.
Si votre site est touché, n’hésitez pas à relancer l’indexation depuis votre Google Search Console.

Hadopi, c’est (encore) fini ?!
C’est une vraie victoire pour ses opposants. Dans une décision rendue ce mardi, le Conseil constitutionnel estime que les pouvoirs que la loi de 2009 confie à la Hadopi pour identifier les personnes partageant des œuvres sur Internet sont contraires à la Constitution.
Aujourd’hui, lorsque l’adresse IP d’un internaute est repérée, les agents de la Hadopi peuvent obtenir des informations auprès de son fournisseur d’accès, sans que la justice n’ait son mot à dire. Concrètement, la levée de l’anonymat des internautes sans passer par l’aval d’un juge ne sera donc plus possible.
Une « Victoire » après de nombreuses ripostes
Toutes dénonçaient une potentielle surveillance de masse, et une violation manifeste des règles établies par le RGPD, le Règlement général sur la protection des données. Avec la décision du Conseil constitutionnel, HADOPI perd sa force de frappe, et par extension sa raison d’exister.
Dans tous les cas il était peut-être temps de baisser le rideau. HADOPI n’a jamais fourni des résultats excellentissimes, ce malgré un budget annuel de 10 millions d’euros. « La réponse graduée » comme on l’appelle n’a attrapé dans ses filets que très peu de Français. Concrètement, en 2019, seulement 619 687 Français ont reçu un premier avertissement, 208 104 un second, et seulement 1748 dossiers ont terminé sur le bureau du procureur de la République. HADOPI est loin d’être le rempart contre le piratage qu’il aurait dû être.
Source : Androit MT

7 Outils pour tester la vitesse et l’optimisation de votre site Internet
Votre site web rame et met du temps à s’afficher ?
Nous pouvons vous aider pour l’optimiser, minification des ressources, compression des images, changement de format…
N’hésitez pas à me contacter
L’article du jour concerne les outils vous permettant de tester la vitesse et l’optimisation de votre site
Vous avez optimisé votre site et vous souhaitez tester les résultats de cette optimisation ?
Alors venez découvrir quelques outils qui vont vous permettre de tester tout cela !
Google Page Speed Insights
Google Page Speed Insights est comme son nom l’indique un service de Google
Son objectif est de donner des recommandations sur la manière d’améliorer la vitesse de chargements sur tous les appareils, mobile ou ordinateur avec un score global et les recommandations (cf copie d’écran ci-après)
Sitespeed.me
Ce site permet de tester votre site depuis une multitude de serveurs et d’afficher les résultats avec les informations principales et pouvant être développées afin d’obtenir le temps de chargement pour chaque catégorie
Whichloadsfaster.zomdir.com
Ce site vous permet d’effectuer un comparatif entre deux sites (par exemple le votre et celui d’un concurrent) pour voir lequel se charge plus rapidement.
Il vous permet également de faire plusieurs tests d’affilée, et voir la note GTMetrix de chaque site !
Pingdom
Le service de test de Pingdom est l’un des plus ergonomique et simple d’utilisation.
Vous pouvez choisir d’effectuer votre test depuis un serveur localisé, un rapport complet de chargement de votre site internet est ensuite disponible !
GTMetrix
GTmetrix s’appuie sur plusieurs outils pour générer un rapport de performances, notamment PageSpeed de Google et Yahoo! Yslow.
Ceux-ci proposent une analyse différente mais complémentaire d’une même page.
Avec les données issues de chacun des outils cités ci-dessus, Gtmetrix attribue une note comprise entre 0 et 100 et vous permet de télécharger un rapport avec les optimisations / recommandations à appliquer
WebPageTest
Le service fourni par WebPageTest est très solide et fournit des résultats extrêmement détaillés selon le navigateur internet choisi.
Google Analytics
Il est maintenant possible de suivre la vitesse de chargement via Google Analytics.
Procurez-vous simplement la dernière version du script de suivi contenant les fonctionnalités et vous la verrez comme une option dans vos métriques.

Focus : Facebook Workplace
Facebook Workplace, qu’est ce que c’est ?
Il s’agit de la déclinaison pour les professionnels de la version Facebook grand public avec des fonctionnalités similaires (photo de profil, description, compétences, projets etc…)
Les outils de communications sont identique à la version grand public : Messenger pour le chat, fil d’actualités, likes…
L’avantage de la similarité entre la version grand public et la version professionelle payant est un réel atout : En effet, Facebook étant déjà utilisé par la plupart des employés dans leur vie personnelle, il n’est pas nécessaire de les former en entreprise.
Par ailleurs le taux d’adoption de la solution est exceptionnel avoisinant les 90% pour une même entreprise.
Workplace propose les mêmes options que le Facebook classique, avec un fil d’actualités, des groupes avec lesquels vous pouvez partager du contenu, des liens, des photos, des documents.
Workplace propose une barre de recherche qui permet de hierarchiser l’information, d’utiliser des fonctionnalités comme la vidéo en direct (Live), de commenter avec des émojis
C’est un canal de communication direct qui facilite l’interaction avec vos collègues, l’organisation de réunions virtuelles et le suivi de présentations à distance.

Communications instantanées, envoi de documents, mobilité et autres fonctionnalités
Workplace de Facebook embarque un chat puissant similaire à Slack permettant les communications instantanées avec ses équipes, en face a face ou en groupe.
Le chat permet d’envoyer des messages écrits, mais aussi de démarrer un partage d’écran ou une visioconférence. Il permet également d’envoyer des fichiers et des vidéos. Les personnes ayant accès aux fichiers, aux lives, aux photos et aux vidéos peuvent laisser des commentaires à tout moment. Le présentateur peut par ailleurs démarrer un sondage dont les résultats se mettront à jour en direct.
Les assistants personnels (ou bots) intégrés à la plateforme peuvent vous aider dans vos tâches quotidiennes, comme envoyer un document ou marquer une action comme complétée.
Workplace s’adapte très bien à une utilisation mobile. Contrairement à une boite email classique pas toujours très pratique à consulter sur smartphone, Workplace est basé sur l’interface de Facebook et est donc très accessible et facile d’utilisation.
Administration simplifiée
Côté gestion de la plateforme, Workplace s’administre à la manière de G Suite de Google : une interface simple et intuitive qui permet d’ajouter/supprimer des collaborateurs facilement et d’activer/désactiver des fonctionnalités.
Coté tarifs
3 forfaits : Essential / Advanced et Enterprise dont vous trouverez les tarifs dans un récapitulatif ci-après :
Le réseau Workplace va-t-il pouvoir faire de l’ombre à l’email classique ou à des concurrents comme Slack? Cela reste à voir.
En attendant, vous pouvez tester la solution à l’adresse ci-après : https://work.facebook.com/

Le service Visio Google Meet gratuit jusqu’à 100 participants et sans limite de temps jusqu’a fin septembre
Le service de visioconférence de Google, Google Meet va ouvrir ses portes aux particuliers et aux entreprises, de manière gratuite pour tous à partir du 4 mai.
Google mise sur ses plateforme et sa sécurité afin de concurrencer Zoom.
Google Meet était au départ une application destinée aux utilisateur professionnels de la G Suite sur la base de Google Hangouts.
Depuis la crise liée au COVID19, le télétravail s’étant répondu ainsi que l’utilisation grandissante des services de visioconférence et de collaboration, Google a annoncé ce mercredi 29 avril, que son service Google Meet sera accessible à tout le monde, gratuitement, à partir du 4 mai.
Cette manœuvre a également pour but de concurrencer les autres services de visioconférence comme Zoom par exemple, qui a récemment franchit la barre des 300 millions d’utilisateurs.
Google s’est focalisé sur la sécurité de son service, un critère sur lequel Zoom a largement été pointé du doigt avec par exemple des mesures de chiffrement des données de bout en bout et / ou l’interdiction d’accéder à des réunions de manière anonyme.
Le service d’appels vidéo de Google permet également d’accueillir jusqu’à 100 personnes au cours d’une même visioconférence.
Pour plus d’informations sur ce service, rendez vous sur : https://meet.google.com/